Je lisais ce matin un ami blogueur lait_ou_creme. Un billet sur l'amour. Ça m'a fait réfléchir. Il finit ce billet sur un titre de Francis Cabrel «Est-ce que ce monde est sérieux».
Et moi, la seule réponse qui m'est venue en retour c'est «Je l'aime à mourir»... Vous savez:
«Moi je n'étais rien mais voilà qu'aujourd'hui, je suis le gardien du sommeil de ces nuits, je l'aime à mourir. Vous pouvez détruire tout ce qu'il vous plaira, elle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras pour tout reconstruire»...bla, bla, bla...
Je vous suggère la suite par vous-même. (Un lien écrit pour ceux à qui Franky écorche les oreilles. Si vous ne l'écoutez ou ne le lisez pas au début, pour bien comprendre la portée de ce billet, au moins, faites le à la fin ;P)
Et moi, la seule réponse qui m'est venue en retour c'est «Je l'aime à mourir»... Vous savez:
«Moi je n'étais rien mais voilà qu'aujourd'hui, je suis le gardien du sommeil de ces nuits, je l'aime à mourir. Vous pouvez détruire tout ce qu'il vous plaira, elle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras pour tout reconstruire»...bla, bla, bla...
Je vous suggère la suite par vous-même. (Un lien écrit pour ceux à qui Franky écorche les oreilles. Si vous ne l'écoutez ou ne le lisez pas au début, pour bien comprendre la portée de ce billet, au moins, faites le à la fin ;P)
Bien moi «je l'aime à mourir» .
Parsemée de crises, de remises en questions, de rage, de peine, d'accrocs, de douleurs vives et exquises, de brûlures qui laissent des marques, de manque, de souffrance, de tornades, de pertes, de peurs...
C'est ce qui marque le plus en fait. On se rappelle bien plus des moments difficiles que des beaux parce qu'ils sont moins nombreux et marqués par nos larmes, nos soucis, nos tourments profonds. et parfois même de haine. C'est souvent là qu'on s'arrête à réfléchir. La douleur nous marque pour refaire surface au moindre souvenir ou événement similaire. C'est bizarre tout de même.
Mais, j'ai eu beaucoup plus de belles journées, de souvenirs mémorables, de joies, de bonheurs, de moments drôles, de fous rires, de plaisirs, de sourires, de rencontres, de partage, d'intensité, de communication, de victoires, de musique, d'amitiés, d'amour d'euphories, de rigolade, de satisfactions, de réjouissances, de régals, de griseries et de béatitudes. Et ça, toujours. Un petit peu, beaucoup ou énormément. Chaque jours! Trop souvent passés comme du beurre dans la poêle, sans s'en rendre vraiment compte.
Et ça prend souvent la douleur pour se rappeler la joie! Ce qu'on est mal fait.
Je vous parle en ce moment
Et cette vie, elle est remplie par ceux qui causent ses joies et ses peines...mon amoureux depuis 12 ans, les autres qui étaient là avant lui, mes enfants, ma famille, mes amis, mes collègues et les inconnus qui ont croisé ma route...comme toi et les autres! :)
L'amour, il est au coin de la rue, prenez une p'tite marche, vous l'aurez vite rejoint! Et «aimez-la à mourir» vous aussi!
Si c'était toujours aussi facile!
RépondreSupprimerMais l'amour, le véritable, ne repose-t-il pas sur le sentiment de confiance, de respect, de LIBERTÉ....? aimer à mourir, personnellement, moi ça me fait peur...
RépondreSupprimerComme ces crimes "passionnels"...non, la pssion n'est pas tuer l'autre parce que rien ne va plus, parce que l'autre vous quitte et vous êtes désespérés...cela c'est débile, car effectivement, l'amour est au coin de la rue, mais souvent, on passe à côté, comme quand on cherche le bohneur et qu'il est là...juste là.
bien dit newton
RépondreSupprimer@ Manylle
RépondreSupprimerBonjour à toi. En fait, aimer la vie c'est pas toujours easy, en effet. Ça prend des concession,comme en amour.
@ Marie
Marie, Marie, relie le billet!! Je parle de la vie, d'aimer la vie... de ses beaux côtés et ses moins beaux. Et cette vie, oui, je l'aime à mourir mais pas tout de suite!
Quand je vais être vieille, vieille! On s'est mal comprises. de fait, je suis d'accord quand même avec ton commentaire! :D
RElecture....je répond donc à "Je l'aime à mourir" que "Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai...".
RépondreSupprimer:D
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